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Un établissement de recherche scientifique à Lyon recherche un ingénieur de recherche - manager de projet à mi-temps pour un projet géo-archéologique en Arabie Saoudite. Le candidat idéal aura un Master ou Doctorat en géosciences/archéologie, avec une expérience en gestion de projets. Vous serez responsable des missions administratives et logistiques, tout en travaillant en collaboration avec des acteurs locaux et scientifiques.
Aux côtés du coordinateur scientifique d'un projet géo-archéologique d'une oasis située dans le nord-ouest de l'Arabie Saoudite, l'ingénieur de recherche - manager de projet assiste ce dernier dans la coordination de projet. Il a pour mission de faciliter le fonctionnement général du projet en conformité avec les termes des contrats de recherche. Ces fonctions recouvrent le management administratif et financier du projet, ainsi qu'une aide à la coordination scientifique, à l'organisation logistique, au maintien de bonnes relations avec les acteurs locaux et aux opérations de prospections, de carottages et de sondages géoarchéologiques et paléoenvironnementaux.
L’oasis de Khaybar, située dans le nord-ouest de l’Arabie Saoudite, a été préservée pendant des millénaires, et présente une occupation humaine sur le long cours depuis la Préhistoire jusqu’à nos jours. Le projet TUPAK, dirigé par B. Depreux (CNRS, UMR 5133 Archéorient), est financé par l’Agence Française pour le développement d’Al-Ula (AFALULA), en partenariat avec la Commission Royale pour Al-Ula (RCU, Arabie Saoudite). Ce projet, qui a débuté en juillet 2025 et durera jusqu’à juin 2028, a pour objectif l'étude diachronique des paysages, des paléoenvironnements et des interactions société-milieu de l’oasis de Khaybar et de sa région.
Le poste sera basé à Lyon 7ème, au sein du laboratoire Archéorient (CNRS/Lyon 2). Il impliquera également des déplacements à Paris et en Arabie Saoudite. Le.la manager de projet sera appelé.e à participer à toutes les missions de terrain où il.elle contribuera à l'organisation et la gestion financière de la mission, ainsi qu'aux opérations scientifiques de terrain.
Le poste impliquera aussi de nombreuses missions de terrain en Arabie Saoudite, nécessitant l’accord du FSD, et comportant des activités de terrain à risque du fait des conditions d’environnement extrêmes (chaleur et aridité) dans des lieux assez isolés.