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Une institution académique en France, reconnue pour son excellence scientifique, recherche un Ingénieur/e de recherche en calcul scientifique. Le candidat développera des modèles innovants pour l'hydrologie des nappes phréatiques. Ce poste contractuel de 18 mois se situe à Nice et requiert un excellent niveau en Python, ainsi que des connaissances en méthodes de discrétisation et calcul haute performance. Rémunération à partir de 2 117,88 € nets, avec télétravail possible jusqu'à 2 jours par semaine.
Ouverte sur l'Europe et le monde, Université Côte d'Azur coordonne les acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche de la Côte d'Azur, pour offrir un environnement de formation, de recherche et d'innovation de très haut niveau. Inscrite dans une trajectoire de profonde transformation de son rôle et de son organisation, la Université est un établissement acteur de la dynamique de son environnement territorial, connu pour la qualité de vie exceptionnelle qu'il offre à ses habitants, entre mer et montagne. Dans ce cadre, Université Côte d'Azur se présente comme une université d'excellence, aux valeurs humanistes, socialement engagée et éthiquement responsable.
Le Laboratoire J.-A. Dieudonné est une unité mixte UniCA-CNRS de recherche en Mathématiques et Interactions. Il rassemble plus de 260 personnes.
Nous recherchons notre futur/future Ingénieur/e de recherche en calcul scientifique !
Ce poste d’ingénieur de recherche est proposé dans le cadre du projet SHALCC (« SHALlow ground water resources under Climate Change »), cofinancé par l’Agence Nationale de la Recherche et la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le projet réunit plusieurs partenaires académiques et industriels, parmi lesquels l’Université de Rouen Normandie, l’Université Côte d’Azur, SCE, l’École Normale Supérieure de Rennes et l’INRAE.
Le projet SHALCC vise à développer des méthodologies innovantes de modélisation et de simulation de l’hydrologie des nappes phréatiques peu profondes, avec pour objectif d’assurer leur applicabilité à divers contextes physiographiques, géologiques et géomorphologiques. Pour cela, le projet combine des approches physiquement basées (PB) et des approches d’apprentissage automatique (ML) et d’apprentissage profond (DL).
Dans le cadre de la modélisation physiquement basée, le projet développe une série de modèles numériques efficaces, appelés hs2D et hs1D, qui améliorent les méthodes traditionnelles fondées sur les équations de Richards ou de Boussinesq. Le modèle hs2D est un modèle bidimensionnel à l’échelle du bassin versant, de type Boussinesq–Richards, qui couple des équations de Boussinesq intégrées verticalement à des modèles de Richards verticaux indépendants. Les sous-problèmes verticaux 1D de Richards sont résolus en parallèle à l’aide d’un schéma de linéarisation robuste et de l’algorithme tridiagonal de Thomas.
Le modèle hs1D est une version simplifiée unidimensionnelle, à l’échelle de la pente, obtenue par intégration supplémentaire du flux perpendiculairement à la pente principale vers le cours d’eau. En utilisant la méthode de Thomas, cette formulation atteint une complexité de calcul linéaire par rapport au nombre de points de grille dans les directions latérale et verticale. Les simulations à l’échelle du bassin versant sont ensuite obtenues en agrégeant les résultats de chaque versant le long du réseau hydrographique. Les premières implémentations des modèles hs1D et hs2D ont été développées en Python, avec une parallélisation gérée via mpi4py. Le code source est maintenu par l’Université Côte d’Azur.
Rejoignez-nous au sein d’Université Côte d’Azur, reconnue depuis 2016 pour son excellence scientifique et pédagogique, pour créer ensemble le modèle de l’université du 21ème siècle responsable et innovante.
Référence de l’offre : ekou4v1iuz