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Un organisme de recherche basé à Toulouse recherche un Ingénieur de recherche pour étudier les méthodes de détection précoce dans les réseaux NB-IoT. Le candidat doit avoir un doctorat et des compétences en NB-IoT, normalisation 3GPP, ainsi qu'en Python. Le poste implique la conception et l'évaluation de méthodes pour optimiser les transmissions dans des environnements avec un nombre élevé d'unités utilisateur. Le contrat est de type CDD de 1 mois, avec un salaire brut mensuel entre 3143€ et 4816€.
Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français
- Anglais
Date Limite Candidature : jeudi 1 janvier 2026 23:59:00 heure de Paris
Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler
Intitulé de l'offre : Ingénieur de recherche (H/F) en "Étude sur la détection précoce dans l'accès aléatoire pour les réseaux NB-IoT Direct-to-Satellite"
Référence : UPR8001-NICACC-005
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : TOULOUSE
Date de publication : jeudi 11 décembre 2025
Type de contrat : IT en contrat CDD
Durée du contrat : 1 mois
Date d'embauche prévue : 8 janvier 2026
Quotité de travail : Complet
Rémunération : entre 3143€ et 4816€ brut mensuel selon expérience
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : Indifférent
BAP : E - Informatique, Statistiques et Calcul scientifique
Emploi type : Ingenieure ou ingenieur en calcul scientifique
Les satellites équipés de passerelles NB-IoT ont une zone de couverture beaucoup plus étendue que les réseaux terrestres traditionnels, ce qui signifie qu'ils peuvent accueillir un nombre nettement plus élevé de User Equipments (UEs), augmentant ainsi le risque d'encombrement pendant la phase d'accès aléatoire. Lorsqu'un UE communique avec une passerelle NB-IoT, le premier message ascendant envoyé est le préambule d'accès aléatoire (Msg1). Il est courant que de nombreux UE lancent ce processus simultanément, ce qui entraîne une contention pour les ressources réseau limitées. Les UE ne détectent pas immédiatement une collision en inspectant la réponse d'accès aléatoire (Msg2). Au lieu de cela, tous les UE recevant Msg2 envoient Msg3 sur les ressources désignées. Ce n'est que lorsqu'ils ne reçoivent pas Msg4 qu'ils se rendent compte qu'une collision s'est produite et commencent à envoyer le Msg1 suivant après un délai inévitable. À mesure que le nombre d'UE augmente dans le scénario non terrestre, davantage de collisions sont susceptibles de se produire pendant Msg1 et Msg3, ce qui entraîne une consommation d'énergie plus élevée et des délais plus longs, ce qui réduit le débit global. Ce problème affecte les communications par satellite et les réseaux terrestres, ce qui incite à la recherche de méthodes de détection précoce pour relever ces défis.
Les activités liées à ce travail consistent à étudier, concevoir et évaluer des méthodes de détection précoce capables d'empêcher la transmission inutile de messages NB-IoT Msg3 et d'augmenter le nombre de transmissions réussies.
Connaissance approfondie de NB-IoT, de la normalisation 3GPP, des protocoles de niveau MAC, des environnements de simulation et de Python.
Le Laboratoire d'Analyse et d'Architecture des Systèmes (LAAS) est une unité propre du CNRS avec des activités dans de nombreux domaines.
L'activité se déroulera au sein de l'équipe SARA (Services et Architectures pour les Réseaux Avancés) sous la direction de Nicola Accettura (nicola.accettura@laas.fr).
Le poste se situe dans un secteur relevant de la protection du potentiel scientifique et technique (PPST), et nécessite donc, conformément à la réglementation, que votre arrivée soit autorisée par l'autorité compétente du MESR.