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Modélisation phytoplancton-virus-environnement (H/F)

CNRS

Perpignan

Sur place

EUR 40 000 - 60 000

Plein temps

Il y a 7 jours
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Résumé du poste

Un organisme de recherche situé à Perpignan cherche un(e) ingénieur(e) biologiste pour modéliser les interactions phytoplancton-virus-environnement. Le candidat idéal devra avoir un BAC+3/4 et 1 à 4 ans d'expérience. Les missions incluent la collecte et l'analyse de données et la modélisation spatiale. Contrat CDD de 13 mois, débutant le 20 octobre 2025 avec une rémunération de 2521,95€ brut mensuel.

Qualifications

  • Expérience 1 à 4 années souhaitée.
  • Garantir la qualité et la pertinence des outils d'analyse et des résultats.
  • Collecte et analyse de données environnementales.

Responsabilités

  • Soutenir les travaux sur les interactions phytoplancton-virus-environnement.
  • Recherche et extraction de données environnementales.
  • Modélisation spatiale de l’interaction phytoplancton-virus-environnement.

Connaissances

Traitement des données
Analyse de modèles dynamiques
Anglais scientifique
Interaction avec des biologistes et des informaticiens

Formation

BAC+3/4
Description du poste

Portail > Offres > Offre UMR5096-SEBGOU-007 - Modélisation phytoplancton-virus-environnement (H/F)

Modélisation phytoplancton-virus-environnement (H/F)

Date Limite Candidature : mardi 30 septembre 2025 23:59:00 heure de Paris

Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler

Informations générales
  • Intitulé de l'offre : Modélisation phytoplancton-virus-environnement (H/F)
  • Référence : UMR5096-SEBGOU-007
  • Nombre de Postes : 1
  • Lieu de travail : PERPIGNAN
  • Date de publication : mardi 9 septembre 2025
  • Type de contrat : IT en contrat CDD
  • Durée du contrat : 13 mois
  • Date d'embauche prévue : 20 octobre 2025
  • Quotité de travail : Complet
  • Rémunération : A partir de 2521.95€ brut mensuel, ajustable selon expérience.
  • Niveau d'études souhaité : BAC+3/4
  • Expérience souhaitée : 1 à 4 années
  • BAP : A - Sciences du vivant, de la terre et de l'environnement
  • Emploi type : Ingenieure ou ingenieur biologiste en traitement de donnees
Missions

La mission consiste à soutenir les travaux en cours sur les interactions phytoplancton-virus-environnement en collectant et analysant des données les concernant afin d’en assurer la modélisation.

Activités
  • Activité 1: Recherche et extraction de données de la littérature sur les caractéristiques environnementales affectant la dynamique de l’interaction phytoplancton-virus dans le golf du lion.
  • Activité 2: Synthèse des informations collectées au sein d’une base de données à usage interne.
  • Activité 3: Modélisation spatiale de l’interaction phytoplancton-virus-environnement.
  • Activité 4: Analyse numérique des modèles spatialisés d’interactions intégrant les variations environnementales observées pour en explorer les implications dynamiques.
Compétences
  • Savoirs-faire et savoirs : Traiter des données (100%), Garantir la qualité et la pertinence des outils d'analyse et des résultats (100%), Analyse de modèles dynamiques (100%), Transmettre des connaissances (90%), Utiliser des techniques de présentations (90%).
  • Savoir-Connaissances : Recueil, analyse et traitement des données (90%), Biologie générale (90%), Anglais scientifique (B1)
  • Savoirs-être : Interagir avec des biologistes et des informaticiens (90%).
Contexte de travail

L’équipe Biologie Théorique du LGDP est composée de 2 enseignant-chercheurs UPVD et d’un étudiant en thèse. La personne recrutée sera impliquée dans le développement d’approches de modélisation des interactions algues-virus qui constitue une partie importante des activités de l’équipe, et ce en étroite collaboration avec Sébastien Gourbiere, responsable d’équipe. Un accent particulier sera porté aux modèles développés dans le cadre du projet ANR ‘PHYTOMICS’ qui vise à élucider les dynamiques écologiques et évolutives des interactions phytoplancton-virus par des approches de modélisation intégrative.

Contraintes et risques

Les horaires de travail hebdomadaire doivent totaliser 38.3 heures dans des plages horaires compatible avec les besoins des projets et en concertation avec les collègues impliqués. Des participations à des réunions de travail peuvent nécessiter, à titre exceptionnel, des horaires au delà de 18h. Les activités à réaliser n'étant pas de nature expérimentale, les seuls risques associés sont ceux liés à l’utilisation des écrans.

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