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Une unité de recherche INSERM recherche un postdoctorant en biologie pour travailler sur le projet Européen H2020 IDentIFY à Grenoble. Le candidat sera responsable de la mise en place d'études sur l'impact de la dynamique moléculaire de l'eau dans le cancer, au sein d'une équipe multidisciplinaire. Ce poste de recherche d'une durée d'un an est idéal pour les chercheurs souhaitant évoluer dans un environnement innovant avec des équipements de pointe.
Intitulé du poste : Contrat postdoctoral en biologie dans le cadre du projet Européen H2020 IDentIFY à Grenoble
Type de structure : Unité INSERM labellisée disposant de plateformes et compétences en neurosciences, biologie cellulaire et moléculaire, à l’interface avec la physique et les technologies.
Le candidat travaillera dans une équipe multidisciplinaire en interaction étroite avec une assistante ingénieure biologique, un assistant ingénieur physicien, un ingénieur de recherche physicien/informaticien, un ingénieur/chercheur chimiste/mathematicien, un professeur en neuro-oncologie et une chercheuse physicienne en neuroimagerie.
Contexte et mission : Le projet Européen H2020 IDentIFY (Improving Diagnosis by Fast Field Cycling MRI) réunit 8 laboratoires et 2 industriels de 6 pays : France, Angleterre, Italie, Allemagne, Pologne et Finlande. Il vise à développer une IRM à champ magnétique faible et variable, à prouver le concept en médecine, et à modéliser les signaux pour les associer à des paramètres biologiques reflétant des processus physiopathologiques. La technologie permet d’obtenir des informations sur la dynamique moléculaire de l’eau dans le nano/microenvironnement tissulaire, invisibles avec les méthodes RMN/IRM conventionnelles à champ fixe et élevé.
À Grenoble, nous disposons d’un champ magnétique cyclique (l’un des rares en France), installé à l’INAC (Institut des NAnosciences et Cryogénie) au CEA. Notre activité concerne l’étude de cancers agressifs comme ceux du cerveau et du sein, en utilisant des lignées cellulaires, des tissus humains, des modèles animaux, ou des solutions synthétiques pour moduler des fonctions physiologiques. L’objectif est de déterminer si les paramètres des signaux en RMN à champ cyclique peuvent servir de biomarqueurs différenciant les régions tumorales des tissus sains, en élucidant les bases biologiques des signaux physiques de relaxométrie.
Fonction : Mise en place et conduite d’expériences biologiques fonctionnelles pour comprendre le rôle de la dynamique moléculaire de l’eau dans le processus carcinogénique et ses interactions avec les protéines.
Contrat : Durée d’un an, éventuellement 18 mois, à partir du début de la mission, disponible immédiatement.
Lieu : Grenoble
Rémunération : Selon le barème de l’INSERM, en fonction de la formation, de l’expérience et de l’ancienneté.
Diplômes requis : Doctorat en biologie avec connaissances en biologie cellulaire et moléculaire, immuno-histologie, et spectroscopie de masse.
Compétences requises : Expérience appréciée en analyse de l’impact biologique de l’eau et en cancérologie. Autonomie, capacité à travailler en équipe multidisciplinaire, à concevoir et réaliser des études biologiques. La responsabilité de la mise en place et de la conduite des études biologiques lui incombera.
Contact : Dr Hana Lahrech, physicienne chercheur INSERM, en envoyant CV, lettre de motivation, et deux lettres de recommandation avec références par email.