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Un institut de recherche scientifique à Paris cherche un PostDoc pour développer des outils analytiques sur les électrodes dans les batteries. Le candidat idéal doit avoir un doctorat en chimie physique ou science des matériaux, avec des compétences en électrochimie. Ce projet innovant propose une immersion dans des méthodes avancées, où l'autonomie et le jugement scientifique sont essentiels. Le poste offre des missions variées et stimulantes, avec une rémunération compétitive selon l'expérience.
Date Limite Candidature : vendredi 9 janvier 2026 23:59:00 heure de Paris
Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler
Intitulé de l'offre : PostDoc (H/F) : Microbalance de pointe pour investiguer l'interface matériaux de batteries/électrolyte
Référence : UMR8235-HUBPER0-005
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 05
Date de publication : vendredi 19 décembre 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 24 mois
Date d'embauche prévue : 2 mars 2026
Quotité de travail : Complet
Rémunération : Entre 2889,51€ et 4082,90€ bruts mensuels selon expérience
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : 1 à 4 années
Section(s) CN : 14 - Chimie de coordination, catalyse et procédés, interfaces
Ce post-doctorat s’inscrit dans le cadre du projet ANR DEEP-SENS (Demystifying the Electrode/Electrolyte Interfaces via Operando Piezoelectric Sensing), qui vise à développer un outil analytique de nouvelle génération pour l’étude des interfaces électrode‑électrolyte dans les batteries rechargeables. Les interfaces jouent un rôle clé dans la performance, la stabilité et la durée de vie des batteries, mais restent difficiles à caractériser en temps réel. DEEP‑SENS relève ce défi en exploitant la puissance de l’ac‑électrogravimétrie, une méthode reposant sur des capteurs piézoélectriques de type QCM couplés à des mesures d’impédance électrochimique. Le projet cible en particulier les batteries rechargeables (lithium‑ion, sodium‑ion…) afin d’étudier des phénomènes fondamentaux tels que la formation des interfaces SEI/CEI, la (dé)solvatation des ions aux interfaces, le transfert ionique interfacial, ainsi que les propriétés mécaniques des électrodes au cours des cycles de charge/décharge. L’objectif est de proposer un outil unique pour mieux comprendre la structure et l’évolution des interfaces/interphases dans les batteries, et ainsi guider la conception de systèmes plus performants et durables. À terme, le projet aboutira au développement d’un dispositif haute‑résolution en ac‑électrogravimétrie, une instrumentation innovante entièrement conçue en France et destinée à la communauté des électrochimistes.
Néant