Responsable Recrutement

HELHa; Moret-Loing-et-Orvanne; Sur place; EUR 40 000 - 60 000; Plein temps

Résumé du poste

Une entreprise en Île-de-France propose une thèse CIFRE de 3 ans pour un doctorant, axée sur la corrosion et l'électrochimie des aciers au carbone dans le cadre de recherches destinées à améliorer la sécurité nucléaire. Le candidat idéal doit être titulaire d'un bac +5 en ingénierie, autonome et passionné par la recherche scientifique.

Qualifications

• Débutant(e) en recherche scientifique souhaité.
• Compétences en microscopie et techniques électrochimiques.
• Goût pour le travail en laboratoire et en équipe.

Responsabilités

• Conduire des recherches sur la corrosion et électrochimie des aciers au carbone.
• Développer un modèle de corrosion en utilisant des méthodes électrochimiques in-situ.
• Travailler en collaboration avec le Laboratoire de Réactivité des Surfaces.

Connaissances

Rigueur scientifique

Méthode

Autonomie

Formation

Diplôme d'ingénieur ou équivalent bac +5

Description du poste

Le ou la candidat(e) sera titulaire d’un diplôme d’ingénieur ou équivalent bac +5 avec une solide formation en microscopie, techniques de mesures électrochimiques, oxydation des métaux et méthodes de caractérisation des surfaces.

Il ou elle devra avoir un goût affirmé pour la recherche scientifique et faire preuve de qualités personnelles démontrant son aptitude au travail en laboratoire et en équipe.

Le ou la candidat(e) devra être autonome, méthodique et faire preuve de rigueur scientifique.

Pour candidater, vous devrez envoyer un CV, une lettre de motivation ainsi que vos relevés de notes de l’année n et n-1.

Complément d'information

Niveau de formation :

Expérience : Débutant

Spécialité(s) : Recherche & Développement

France / Île-de-France

Département : Seine et Marne

Ville :

Ce poste concerne un doctorant pour une thèse CIFRE de 3 ans, en collaboration avec le Laboratoire de Réactivité des Surfaces (Sorbonne Université CNRS), portant sur la corrosion et l’électrochimie des aciers au carbone lors des phases d’arrêts et de chantiers des Réacteurs à Pression et à Eau (REP). La recherche vise à développer un modèle de corrosion, notamment dans le contexte de la substitution de l’hydrazine dans le circuit nucléaire, en utilisant des méthodes électrochimiques in-situ pour suivre la vitesse et la cinétique de corrosion selon différents paramètres chimiques et métallurgiques.