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Post doctorant (H/F) en nanomédecine

CNRS

Paris

Sur place

EUR 2 000 - 5 000

Plein temps

Il y a 2 jours
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Résumé du poste

Le CNRS recherche un(e) chercheur(e) post-doctorant(e) pour étudier les effets immunomodulateurs des nanoparticules métalliques. Le poste nécessite un doctorat récemment obtenu avec des compétences approfondies en biophysique ou nanomédecine. Vous intégrerez une équipe de recherche pluridisciplinaire pour contribuer à des projets innovants sur les thérapies à base de nano-objets.

Qualifications

  • Poste pour un(e) chercheur(e) post-doctorant avec un doctorat en 2024.
  • Connaissances en biophysique, bio-ingénierie ou nanomédecine requises.
  • Expériences sur les nanoparticules et culture cellulaire souhaitées.

Responsabilités

  • Mettre en place un modèle 3D d'athérosclérose.
  • Incorporer des cellules immunitaires dans les modèles 3D.
  • Analyser l'effet des nanoparticules sur le microenvironnement.

Connaissances

Culture cellulaire
Nanoparticules
Microfluidique
Immunologie

Formation

Doctorat/diplômes équivalents

Description du poste

Veuillez pour partager sur Facebook, Twitter et LinkedIn.

  • Fonction publique : Fonction publique de l'État
  • Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)

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  • Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
  • Nature du contrat Non renseigné
  • Expérience souhaitée Non renseigné
Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels Entre 2 991,58 € et 4 756,76 € brut selon expérience€ brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
  • Catégorie Catégorie A (cadre)
  • Management Non renseigné
  • Télétravail possible Non renseigné

Missions :
Les nanoparticules métalliques activées ou non par un stimulus externe (laser, champ magnétique alternatif) peuvent générer des effets sur le système immunitaire qui sont favorables dans certaines stratégies de réparation tissulaire ou de thérapie anticancéreuse. L'objectif sera d'évaluer les effets immunomodulateurs de nanoparticules métalliques activées ou non par des champs extérieurs dans des modèles tridimensionnels de plaques d'athérome ou de tumeurs fibreuses. Un focus sur l'infiltrat immunitaire en fonction des propriétés physiques de la matrice extracellulaire sera réalisé pour différents types de nanoparticules/stimuli.
Activités :
- Mettre en place un modèle 3D d'athérosclerose et de tumeurs fibreuses et en étudier les propriétés mécaniques.
- Incorporer des cellules immunitaires dans ces modèles 3D et en étudier le comportement.
- Réaliser un crible de l'effet de nanoparticules sur ces modèles 3D exposés ou non à des stimuli externes.
- Mettre en place des analyses multivariées et des outils d'apprentissage automatique pour cribler la microenvironnement immunitaire dans ces modèles.

Contexte de travail :
La nouvelle unité pluridisciplinaire NABI (Nanomédecine, Biologie extracellulaire, Intégratome et Innovations en Santé), sur le Campus Saint Germain de l’Université Paris Cité (45 rue des Saints Pères, 75006 Paris) a été créée au 1er janvier 2025 et regroupe environ 70 collaborateurs physiciens, biologistes, pharmaciens, ingénieurs et médecins dont une trentaine de permanents, sous les tutelles du CNRS, de l’INSERM et de l’Université Paris Cité. Les objectifs scientifiques de NABI sont de développer des nouvelles thérapies à base de nano-objets biologiques (vésicules extracellulaires) ou synthétiques (nanoparticules métalliques activables) pour la délivrance de thérapies personnalisées pour des pathologies difficiles à traiter. L’étude des nanoobjets dans les fluides biologiques requièrent des approches transdisciplinaires (physique, ingénierie, biologie cellulaire et moléculaire, immunologie…) jusqu’à la pratique clinique et des moyens techniques et analytiques dédiés (microscopie de super-résolution, nanosondes, microfluidique…) ainsi qu’une exploration multimodale et multiéchelle systématique dont l’analyse fait appel à l’IA. Ces méthodologies innovantes sont développées au sein de NABI et dans l’intégrateur industriel IVETh, un hub technologique dédié à la caractérisation, la bioproduction et l’ingénierie de vésicules extracellulaires et nanovecteurs pour le diagnostic et les thérapies personnalisées. L'agent intégrera l'équipe pluridisciplinaire "Nanobiothérapies" dans le cadre du projet ANR NanoHypMPI.

Profil recherché

Competences :
Dans le cadre d'un projet ANR, nous recherchons un(e) chercheur(e) post-doctorant. Le doctorat devra être obtenu de préférence en 2024, avec des connaissances approfondies en biophysique ou bio-ingénierie ou nanomédecine. Expériences souhaitées en :
- culture cellulaire et modèle 3D (organoîdes)
- nanoparticules et leurs interaction avec le milieu biologique et/ou champs d'excitation externes
- microfluidique
- immunologie

Contraintes et risques :
Pas de contrainte ou risque particulier

Niveau d'études minimum requis
  • Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.

Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.

Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

Chercheuse / Chercheur

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