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Jeudi 14 mars, s’est tenue en séance la Commission mixte paritaire concernant le projet de loi « Habitat dégradé ».
Cette commission, composée d’une quinzaine de parlementaires, a pour objectif de parvenir à un texte commun.
Malheureusement, nous avons constaté que le texte définitivement adopté a supprimé l’ensemble des amendements proposés par l’ARC Nationale, qui avaient pourtant été adoptés à l’Assemblée Nationale et au Sénat.
Un autre point plus troublant est que la rapporteur de la loi au Sénat, Madame Amel GACQUERRE, a toujours refusé de nous auditionner, que ce soit pour ce projet de loi ou pour une commission sur la paupérisation des copropriétés en France.
Ce constat est d’autant plus amer que, suite à une enquête menée par les pouvoirs publics, notre association est la seule représentative des intérêts des syndicats de copropriétaires.
Ne pouvant échanger de vive voix ou par visioconférence, nous utilisons les réseaux sociaux pour interroger Madame GACQUERRE sur ses décisions, afin de comprendre pourquoi l’ARC Nationale est mise à l’écart.
Essayons une méthode ludique pour illustrer cela :
- Dans le cadre du projet de loi « Habitat dégradé », l’Assemblée Nationale et le Sénat ont voté en séance publique :
La Commission mixte paritaire, réunissant une quinzaine de parlementaires, a supprimé ces amendements adoptés. Madame GACQUERRE, trouvez l’erreur !
De même, alors que le Sénat a refusé d’adopter un amendement imposant la notification électronique des documents et lettres de mise en demeure aux copropriétaires :
De plus, alors que le Sénat a lancé une enquête sur la paupérisation des copropriétés :
Madame GACQUERRE, voici le point commun entre :
Il est regrettable de constater que Madame GACQUERRE semble privilégier les intérêts des syndics professionnels au détriment des copropriétés dégradées. La politique qu’elle mène pourrait ainsi freiner l’amélioration de leur situation.
Nous espérons que cette situation pourra évoluer dans l’intérêt général. Même si, pour l’instant, le mal est fait.