Activez les alertes d’offres d’emploi par e-mail !

M / F Role of rad51 proteins in mitotic interhomolog recombination in diatoms.

CNRS

Paris

Sur place

EUR 40 000 - 60 000

Plein temps

Hier
Soyez parmi les premiers à postuler

Résumé du poste

Un organisme de recherche en biologie à Paris cherche un doctorant pour étudier le rôle des protéines RAD51 dans la recombinaison interhomologue. Le candidat devra développer des lignées mutantes pour tester divers facteurs moléculaires, tout en évoluant dans un cadre de recherche dynamique et collaboratif. Contrat de 36 mois, rémunération à partir de 2200 € par mois.

Prestations

Environnement de travail convivial
Encadrement de recherche dédié
Accès aux transports en commun

Qualifications

  • Bac +5 en biologie ou domaine connexe.
  • Connaissances des mécanismes de réparation de l'ADN.
  • Capacité à travailler en laboratoire.

Responsabilités

  • Générer des mutants knock-out / knock-down des RAD51.
  • Évaluer l’impact sur le choix du modèle de HR.
  • Étudier les effets des mutations ciblées sur RAD51.

Connaissances

Analyse génomique
Biologie cellulaire
Techniques de mutation

Formation

Master en biologie

Outils

Systèmes de détection génétique

Description du poste

Informations générales

Intitulé de l'offre : H / F Rôle des protéines RAD51 dans la Recombinaison interhomologue mitotique des diatomées

Référence : UMR8197-VALHER-181

Nombre de Postes : 1

Lieu de travail : PARIS 05

Date de publication : mercredi 30 juillet 2025

Type de contrat : CDD Doctorant

Durée du contrat : 36 mois

Date de début de la thèse : 1 octobre 2025

Quotité de travail : Complet

Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel

Section(s) CN : 21 - Organisation, expression, évolution des génomes

Description du sujet de thèse

Rôle des protéines RAD51 dans la recombinaison interhomologue mitotique des diatomées.

Ce projet de thèse vise à comprendre les bases moléculaires de la recombinaison homologue interchromosomique (IH-HR) inhabituelle observée chez les diatomées, des microalgues clés des écosystèmes marins. Contrairement à la majorité des eucaryotes, les diatomées présentent des niveaux élevés d’IH-HR en mitose, un processus normalement restreint pour éviter des réarrangements délétères. L’objectif est de déterminer les facteurs moléculaires responsables de cette particularité, en particulier le rôle de la recombinase RAD51.

Le doctorant / doctorante développera des lignées mutantes de Phaeodactylum tricornutum pour tester le rôle de différents membres de la famille RAD51 et de leurs variantes spécifiques dans le choix du modèle de recombinaison. Il / elle utilisera des systèmes de détection de l’IH-HR et de l’échange entre chromatides sœurs, ainsi que des tests de sensibilité aux agents génotoxiques. Le projet inclura également une analyse fine de mutations ciblées sur les acides aminés clés de RAD51 impliqués dans la reconnaissance de l’ADN et la tolérance aux mésappariements.

Ce travail s’inscrit dans un cadre plus large visant à élucider les mécanismes de réparation de l’ADN chez les microalgues et à mieux comprendre l’équilibre entre stabilité génomique et variabilité génétique chez les organismes photosynthétiques marins.

Activités :

  • Générer des mutants knock-out / knock-down des RAD51 et autres facteurs de HR précoce.
  • Évaluer l’impact de leur perturbation sur le choix du modèle HR et la réparation de l’ADN.
  • Étudier l’effet de mutations ciblées dans RAD51A sur la sélection du modèle.

Contexte de travail

Le projet sera mené au sein de l'équipe d'accueil PhytoGenomics, qui offre un environnement de travail convivial dirigé par Chris Bowler (. Le laboratoire a une forte tradition de recherche sur de nombreux aspects de la biologie des diatomées, notamment la génomique et la biologie cellulaire. Actuellement, l'équipe comprend 3 doctorants, 3 postdoctorants, 1 maître de conférences, 1 chercheur CNRS et 1 ingénieur CNRS. Les travaux de l'équipe portent sur les mécanismes par lesquels l'environnement peut influencer la structure et la dynamique des génomes. La thèse sera encadrée par Petra Bulankova, chargée de recherche CNRS au sein de l’équipe et financé par l’ERC Diatomic.

L'Institut de Biologie de l'École Normale Supérieure (IBENS) est un centre de recherche pluridisciplinaire à vocation internationale situé dans le Quartier Latin au centre de Paris, à proximité de nombreux moyens de transport (RER, métro, bus). Cette unité mixte CNRS / Inserm / ENS comprend environ 320 agents, répartis-en 29 équipes de recherche, et soutient l'emploi des minorités.

Contraintes et risques

Aucun

Obtenez votre examen gratuit et confidentiel de votre CV.
ou faites glisser et déposez un fichier PDF, DOC, DOCX, ODT ou PAGES jusqu’à 5 Mo.