Ingénieur de recherche en modélisation de circuits supraconducteurs (H/F)

CNRS; Grenoble; Sur place; EUR 40 000 - 60 000; Temps partiel

Résumé du poste

Un institut de recherche renommé à Grenoble recherche un ingénieur de recherche en modélisation de circuits supraconducteurs. Le candidat idéal aura un doctorat en physique théorique et une expérience en modélisation quantique. Des compétences en programmation moderne et en théorie des systèmes à N-corps sont nécessaires. Ce poste offre une rémunération de 3143,64 € brut par mois et nécessite une collaboration avec des équipes expérimentales.

Qualifications

• Trois années d'études doctorales en physique théorique requises.
• Formation en théorie des systèmes à N-corps, circuits unitaires et supraconductivité.
• Expérience avec le formalisme des réseaux de tenseurs appréciée.

Responsabilités

• Développement de nouvelles méthodes de modélisation pour circuits bosoniques.
• Collaboration avec des équipes expérimentales sur la supraconductivité.
• Mise en œuvre du concept de rotation orbitale dans les états bosoniques.

Connaissances

Théorie des systèmes à N-corps

Circuits unitaires

Supraconductivité

Programmation moderne

Formation

BAC+5

Outils

Langages de programmation

Description du poste

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Ingénieur de recherche en modélisation de circuits supraconducteurs (H/F)

Date Limite Candidature : vendredi 22 août 2025 23:59:00 heure de Paris

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Informations générales

Intitulé de l'offre : Ingénieur de recherche en modélisation de circuits supraconducteurs (H/F)
Référence : UPR2940-ELOBER-136
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : GRENOBLE
Date de publication : vendredi 1 août 2025
Type de contrat : IT en contrat CDD
Durée du contrat : 3 mois
Date d'embauche prévue : 1 octobre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : Salaire mensuel brut de 3143,64 €
Niveau d'études souhaité : BAC+5
Expérience souhaitée : 1 à 4 années
BAP : E - Informatique, Statistiques et Calcul scientifique
Emploi type : Experte ou expert en calcul scientifique

Missions

Les circuits bosoniques constituent actuellement une plateforme versatile pour l’étude de la physique non-linéaire, de l’information quantique, ou des corrélations quantiques. La complexité grandissante des designs expérimentaux demande des avancées importantes dans les méthodes de modélisation. Dans l’équipe, des progrés récents sur la modélisation des circuits fermioniques ont été obtenus récemment, en combinant plusieurs techniques de compression quantiques. Etendre ces concepts et algorithmes aux circuits bosonique constitue le but essentiel de la mission. Des collaborations expérimentales au sein du laboratoire sur le thème général de la supraconductivité sont aussi encouragées.

Activités

- Le concept de rotation orbitale dans le cadre des états produits de matrice sera mis en oeuvre dans le cas bosonique.
- Une attention sera portée sur le problème général de la troncation de l’occupation bosonique, pour laquelle de nouvelles idées théoriques seront développées.
- Des discussion régulières avec les équipes expérimentales seront favorisées.

Compétences

Trois années d'études doctorales en physique théorique sont absolument requises pour ce poste (le doctorat peut être obtenu peu après le début du contrat).
Une formation en théorie des systèmes à N-corps, circuits unitaires, supraconductivité et physique hors équilibre est requise.
Une expérience préalable du formalisme des réseaux de tenseurs serait un atout considérable, tout comme une compréhension approfondie des langages de programmation modernes (de préférence compilés).

Contexte de travail

L'Institut NEEL (http://neel.cnrs.fr) est un laboratoire CNRS de recherche fondamentale en physique de la matière condensée (UPR2940 rattachée au CNRS Physique), en association avec l'Université Grenoble-Alpes. Environ 450 personnes y travaillent. Il est situé à Grenoble, dans un environnement scientifique international très riche, au cœur des Alpes.
L'ingénieur de recherche rejoindra l'équipe "Théorie quantique des circuits" au sein du département QUEST. L'équipe est actuellement composée de 2 chercheurs permanents et 2 chercheurs non permanents, et s'inscrit dans un réseau de collaborations locale, nationale et internationale.

Le poste se situe dans un secteur relevant de la protection du potentiel scientifique et technique (PPST), et nécessite donc, conformément à la réglementation, que votre arrivée soit autorisée par l'autorité compétente du MESR.