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Une institution de recherche scientifique en France cherche un doctorant pour développer des techniques de métrologie à haute résolution de métasurfaces. Basé à Marseille, le candidat travaillera en collaboration avec divers laboratoires. Un Master 2 en Optique ou en Physique est requis, ainsi qu'un intérêt pour la recherche théorique et expérimentale. La rémunération est d'environ 2200 € brut par mois.
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Sujet de thèse :
Titre : Métrologie à haute résolution de métasurfaces : développement d'une technique originale de détermination de la phase à l'échelle submicronique.
Depuis une vingtaine d’années, les métasurfaces optiques permettent la création de fonctions optiques, conventionnelles ou non, extrêmement compactes car réalisées sur une simple optique plane. Ces nouveaux composants ouvrent la voie vers une nouvelle génération d’instrumentation astronomique, plus simple et plus compacte que la génération actuelle.
L’objet de cette thèse est la mise au point de techniques métrologiques innovantes pour la caractérisation fine de métasurfaces, aux longueurs d’onde d’utilisation. Il s’agit d’aller mesurer avec précision la cartographie de phase locale effectivement codée par les nanostructures sur les composants. La technique envisagée se base sur une méthode d’interférométrie particulière adaptée aux surfaces mosaïquées (Interférométrie PISTIL), et comparée à la méthode de référence de l’interférométrie à décalage de phase.
Diplôme requis : Master 2 en Optique ou en Physique, avec le goût de la théorie et de l’expérimentation.
Contexte :
Cette thèse se déroule dans le cadre de la collaboration entre l’ONERA et le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM). La modélisation des métasurfaces se fait en collaboration avec l’Institut Fresnel (Marseille) et leur réalisation avec FEMTO-ST (Besançon).
Le travail de thèse se situe au LAM avec des visites ponctuelles à l’ONERA-Palaiseau. Le développement des moyens de caractérisation et les mesures s'effectueront sur les bancs optiques dans les salles blanches du LAM.
Contraintes et risques :
Séjours ponctuels à l’ONERA (Palaiseau).
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
Chercheuse / Chercheur