H/F CDD chercheur en biogeochimie experimentale

CNRS; Toulouse; Sur place; EUR 40 000 - 60 000; Plein temps

Résumé du poste

Le CNRS recherche un chercheur en biogeochimie expérimentale pour un contrat à durée déterminée de 14 mois à Toulouse. Le candidat interviendra sur des projets innovants liés à la séquestration du CO2, en utilisant des bioréacteurs et en optimisant des procédés chimiques. Ce poste requiert un doctorat en sciences environnementales et une solide maîtrise des techniques analytiques. Rejoignez une équipe dynamique pour contribuer à des recherches de pointe dans le domaine de la biogéochimie.

Qualifications

• Expérience avec la mise en place et la gestion de bioréacteurs en semi-batch.
• Capacité à caractériser des précipités.
• Expérience souhaitée de 1 à 4 années.

Responsabilités

• Intervenir sur la précipitation de carbonates de calcium ou magnésium.
• Optimiser les procédés chimiques de précipitation.
• Restituer les résultats sous forme d’articles scientifiques.

Connaissances

Maîtrise du cycle du carbone

Connaissance en milieux anoxiques

Autonomie

Dynamisme

Curiosité

Esprit d’équipe

Maîtrise de l’anglais

Formation

Doctorat en sciences environnementales

Outils

Chromatographie ionique

MET

MEB

DRX

AAS

Description du poste

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H/F CDD chercheur en biogeochimie experimentale

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :

Date Limite Candidature : jeudi 12 juin 2025 23:59:00 heure de Paris

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Informations générales

Intitulé de l'offre : H/F CDD chercheur en biogeochimie experimentale
Référence : UMR5563-OLEPOK-005
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : TOULOUSE
Date de publication : jeudi 22 mai 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 14 mois
Date d'embauche prévue : 1 août 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : entre 2991€ et 4166€ brut mensuel selon expérience
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : 1 à 4 années
Section(s) CN : 30 - Surface continentale et interfaces

Mission

Le candidat ou la candidate interviendra sur le verrou scientifique lié à la précipitation de carbonates de calcium ou magnésium tout en maintenant l’activité bactérienne. Il ou elle travaillera sur l’optimisation des procédés chimiques de précipitation dans des conditions contrôlées, en utilisant des bioréacteurs en batch ou en continu, avec une surveillance chimique et une modélisation couplant le biologique et la chimie des précipitations. La restitution des résultats se fera sous forme d’articles scientifiques.

Compétences

- Diplôme : Doctorat en sciences environnementales, biogéochimie ou chimie environnementale
- Maîtrise du cycle du carbone et des réactions à l’interface eau-solide
- Expérience avec la mise en place et la gestion de bioréacteurs en semi-batch
- Connaissance en milieux anoxiques et en analyses chimiques (chromatographie ionique, COT, CI, DCO, AAS)
- Capacité à caractériser des précipités (MET, MEB, DRX)
- Autonomie, dynamisme, curiosité, esprit d’équipe, maîtrise de l’anglais à l’oral et à l’écrit

Contexte de travail

Ce projet s’inscrit dans la stratégie nationale bas carbone (SNBC) pour développer des méthodes de séquestration du CO2 sous forme minérale, en utilisant des bactéries pour précipiter des carbonates de calcium ou magnésium, notamment par transformation du CO2 en matériaux stables et durables, tout en traitant la pollution au soufre. Le projet CABIOCA vise à valoriser le CO2 via des bactéries pourpres sulfureuses, permettant une réduction du CO2 et une gestion des pollutions organiques et soufrées.