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Un établissement militaire dynamique recherche un contrôleur des opérations aériennes pour assurer la sécurité maritime. Ce rôle clé implique la préparation et l'exécution de missions aériennes, tout en offrant des possibilités d'évolution vers des postes à responsabilité. Les candidats doivent posséder un diplôme Bac+3 minimum, de préférence en ingénierie, et démontrer des compétences en management, travail d'équipe et adaptabilité. Avec une formation rigoureuse et des missions variées, cette carrière promet d'être enrichissante et stimulante, tant sur le plan professionnel que personnel.
Cannes, France
Sur tous les océans et toutes les mers du monde, 365 jours par an et 24 heures sur 24, les marins assurent la sécurité et la protection de l’espace maritime français. En mer, sur terre et dans les airs, 40 000 marins se mobilisent pour accomplir des missions de renseignement, de prévention, d’intervention, de protection et de dissuasion.
Véritable spécialiste des opérations aériennes, le contrôleur des opérations aériennes (COA) joue un rôle prépondérant dans la préparation, l’exécution et la restitution des missions des aéronefs de la Marine nationale engagés en opération, en exercice ou en entraînement. Il apporte son expertise dans les domaines des opérations aéromaritimes, du renseignement militaire et des systèmes liés à la préparation de mission des aéronefs, des missiles associés ou des capteurs embarqués. À terre ou en mer, il planifie, soutient et conseille les équipages d’aéronef, pilotes, le commandement et les états-majors. Il évolue dans un milieu interalliés, interarmées ou propre à la marine nationale. Les officiers de la spécialité COA ont vocation à réaliser une première partie de carrière à dominante opérationnelle, avec des possibilités de passerelles entre différentes composantes de l’aéronautique navale (hélicoptères, groupe aérien embarqué, patrouille maritime, drones) pour acquérir polyvalence. Avec l’expérience, ils évoluent vers des fonctions à responsabilités en état-major, notamment en planification, conduite des opérations, expertise des systèmes aéroportés et renseignement militaire. Ils peuvent également travailler dans des organismes interarmées ou internationaux, en France ou à l’étranger.
Paris, Brest, Toulon, Lorient, Lanvéoc, Landivisiau, Lann-Bihoué, Hyères voire à l’étranger. Forte probabilité d’embarquement à bord des bâtiments de surface accueillant des aéronefs.
Contrat initial de 8 ans, renouvelable. La carrière peut se poursuivre jusqu’à 20 années de service. Possibilité d’accéder au statut d’officier de carrière.
5 mois de formation au management à l’École navale de Lanvéoc-Poulmic (29), suivi d’un stage en unité de 3 semaines, puis formation spécifique de 5 mois au Centre de Formation de l’Aéronautique Navale de Lann Bihoué (CEFAé). À l’issue, affectation dans le domaine ou la composante prévue. Pour ceux souhaitant servir dans la composante « groupe aérien embarqué » (GAé), une formation complémentaire d’un an (cours ORIA) est nécessaire après une première année d’affectation à Landivisiau (29), offrant des possibilités d’affectation en organismes d’expertise, de planification des opérations ou de renseignement.
LV A. – état-major ALAVIA :
« En 1ère partie de carrière, le COA travaille principalement au profit de l’aéronautique navale. Il peut œuvrer au sein de la composante « chasse », « patrouille maritime » ou « hélicoptères ». La formation en école porte sur l’aéronautique, les opérations et la préparation des missions, permettant de s’imprégner de l’environnement aéronaval. La pratique et l’expérience sont également essentielles. En seconde partie de carrière, le COA occupe des postes à responsabilité dans le renseignement, les relations internationales, les opérations ou la planification, en France ou à l’étranger. Un bon COA doit faire preuve d’une grande capacité d’adaptation, d’un intérêt pour l’environnement aéronautique et d’un bon niveau d’anglais.»
Motivation, curiosité, intérêt pour l’aéronautique, le domaine maritime, les aspects tactiques et techniques des opérations ou le renseignement sont essentiels. Les qualités humaines comme l’adaptabilité, le travail en équipe, la gestion du stress, l’esprit d’initiative et le leadership sont aussi importantes. Capacité d’analyse, réactivité, disponibilité, compétences managériales et esprit d’équipe sont requises.