chercheur en physiologie des microalgues (H/F)

CNRS; Paris; Sur place; EUR 40 000 - 60 000; Plein temps

Résumé du poste

Le CNRS recherche un chercheur post-doctoral en physiologie des microalgues pour rejoindre un laboratoire à Paris. Le candidat participera à un projet sur les rythmes circadiens des diatomées marines, utilisant des approches moléculaires. Le laboratoire aborde des sujets clés sur l'écologie et la biologie des microalgues.

Qualifications

• Doctorat et expérience en chronobiologie et biologie moléculaire requis.
• Niveau CV et publications compatibles avec les exigences post-doctorales.

Responsabilités

• Caractériser des régulateurs moléculaires des rythmes circadiens chez les diatomées.
• Intégrer des approches moléculaires et analyser des processus dépendants de la lumière.

Connaissances

Chronobiologie

Génomique fonctionnelle

Biologie moléculaire

Formation

Doctorat

Description du poste

chercheur en physiologie des microalgues (H/F)

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• Fonction publique : Fonction publique de l'État
• Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)

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• Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
• Nature du contrat Non renseigné
• Expérience souhaitée Non renseigné

Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels 3081.33 € bruts par mois€ brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée

• Catégorie Catégorie A (cadre)
• Management Non renseigné
• Télétravail possible Non renseigné

Missions :
Nous recherchons un/une chercheur/chercheuse post-doctoral motivé ;e pour rejoindre le laboratoire « Photobiologie et Physiologie des Plastes et Microalgues » dirigé par le Dr. Angela Falciatore à l'Institut de Biologie Physico-Chimique (IBPC) à Paris, France. Ce laboratoire se consacre à l'étude des processus induits par la lumière (photosynthèse, photoperception et rythmes dépendant de la lumière) et à la biologie des chloroplastes. Le laboratoire aborde des questions clés sur la biologie, l'évolution et l'écologie des microalgues en se concentrant sur différents systèmes modèles moléculaires (par exemple, Chlamydomonas reinhardtii et la diatomée Phaeodactylum tricornutum) et sur des espèces phytoplanctoniques pertinentes sur le plan écologique, étudiées avec des approches d'écophysiologie, de biophysique, de biochimie, de génomique et de génétique (http://www.ibpc.fr/UMR7141).
Activités :
Le/la post-doctorant.e participera à un projet visant à caractériser les régulateurs moléculaires orchestrant les rythmes circadiens chez les diatomées marines. Ce projet s'appuie sur la découverte récente de la protéine bHLH-PAS RITMO1 comme premier régulateur des rythmes circadiens chez P. tricornutum et de différents photorécepteurs (le Phytochrome DPH et les Cryptochromes), possiblement impliqués dans la régulation circadienne. Ces protéines seront utilisées comme point d'entrée pour caractériser le système d'horloge circadienne encore inconnu des diatomées, en intégrant des approches moléculaires à l'échelle du génome avec des analyses in vivo des processus rythmiques dépendant de la lumière. Ces recherches feront partie d'un nouveau projet sur les régulations photopériodiques qui comprendra l'analyse d’espèces de diatomées polaires et la participation à des missions dans les océans arctiques.
Contexte de travail :
L'Institut de Biologie Physico-Chimique (IBPC), créé en 1930 par la Fondation Edmond de Rothschild, se consacre aux recherches multidisciplinaires dans tous les domaines de la biologie. Le/la candidat/candidate intégrera le laboratoire de "Biologie du chloroplaste et perception de la lumière chez les microalgues" (UMR7141) dirigé par la Dr Angela Falciatore. Celui-ci comporte une vingtaine de membres permanents (chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs) et une quinzaine de collaborateurs temporaires, doctorants et post-doctorants. Ce laboratoire, dédié à l'étude des processus induits par la lumière (photosynthèse et photoperception) et de la biologie du chloroplaste, aborde des questions clés sur la biologie, l'évolution et l'écologie des microalgues en se concentrant sur différents organismes modèles (Chlamydomonas reinhardtii et diatomées, dont P. tricornutum) et sur des espèces phytoplanctoniques d'importance écologique, étudiées par des approches écophysiologiques, biophysiques, biochimiques, génomiques et génétiques.
Le contrat est un CD
Voir plus sur le site emploi.cnrs.fr...

Profil recherché

Competences :
Un doctorat et une expérience consolidée en chronobiologie, génomique fonctionnelle et techniques de biologie moléculaire sont requis. Le niveau du CV et de la liste de publications sera compatible avec les exigences des programmes post-doctoraux nationaux et internationaux.
Contraintes et risques :
Temps plein. Pas de risque particulier

Niveau d'études minimum requis

• Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.

Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.

Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

Chercheuse / Chercheur

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