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Le CNRS recherche un/une chercheur.se postdoctoral.e en épidémiologie évolutive à Montpellier pour un projet financé par l'ANR. Ce poste nécessite une expertise en biologie évolutive théorique et en modélisation mathématique, avec un salaire brut mensuel à partir de 3021,50€. Le/la candidat.e travaillera sur des modèles d'adaptation des pathogènes aux vaccins, en collaboration avec des équipes à Paris et Oxford.
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Missions :
Dans le cadre d'un projet VIRADAPT financé par l'ANR nous souhaitons mieux comprendre l'adaptation des pathogènes aux vaccins afin d’identifier les stratégies vaccinales les plus durables, et de développer de nouvelles méthodes pour caractériser les phénotypes des variants.
Nous recherchons une personne pour développer un cadre théorique à l’interface entre génétique des populations et épidémiologie mathématique prenant en compte les différentes étapes de l’adaptation d’un virus (mutation, invasion, fixation) se propageant dans une population hétérogène d’hôtes (naïfs, immunisés naturellement ou vaccinés).
Activités :
- Développer et analyser des modèles mathématiques d'adaptation
- Développer des modèles de simulation stochastique permettant de suivre la dynamique épidémiologique et évolutive
- Présenter des résultats à des conférences scientifiques
- Ecrire des publications scientifiques pour communiquer les résultats
Contexte de travail :
La personne sera basée à Montpellier (CEFE, 1919 route de Mende) mais travaillera sur le projet avec des collègues à Paris et à Oxford impliqués dans l'ANR VIRADAPT.
Competences :
- Expérience en biologie évolutive théorique, en génétique des populations et/ou en mathématiques
- Expérience dans le développement et l'analyse de modèles épidémiologiques stochastiques
- Capacité des travailler en équipe et de communiquer les résultats lors de communications orales et en rédigeant des publications
Contraintes et risques :
Le projet de recherche ne nécessite pas d’expérimentation, de travail de terrain, ou de manipulation, et consiste en un travail de modélisation hébergé au sein des bureaux de l’équipe EEE au CEFE. Pas de problème de sécurité spécifique, mis à part les risques, notamment musculo-squelettiques, inhérents au travail sur ordinateur.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.