Activez les alertes d’offres d’emploi par e-mail !
Mulipliez les invitations à des entretiens
Le CNRS recherche un assistant ingénieur en bioingénierie microfluidique pour un projet sur la thérapie photothermique en cancérologie. Le candidat collaborera avec un doctorant et participera à des expériences complexes utilisant des techniques de microfluidique pour évaluer des traitements anticancéreux et améliorer les protocoles existants.
Partager la page
Veuillez pour partager sur Facebook, Twitter et LinkedIn.
Veuillez pour partager sur Facebook, Twitter et LinkedIn.
Missions :
- Tester des protocoles de formation de tumoroides en gouttes microfluidiques, ou en micropuits
- Tester les thérapies anticancéreuses avec ces techniques, chimiothérapies, ou thérapies à base de nanoparticules
- Evaluer les bénéfices risques des traitements, en termes de biomécanique de la tumeur, et de sa dissémination via son sécrétome (incluant les vésicules extracellulaires)
Plus précisément, nous recherchons un(e) assistant(e) ingénieur qui travaillera en étroite collaboration avec un doctorant sur un projet relevant de la nanomédecine, avec un accent particulier sur la thérapie photothermique appliquée au traitement du cancer. Le projet implique notamment l’utilisation de dispositifs microfluidiques afin de mieux comprendre les effets de la thérapie photothermique en synergie avec d'autres approches thérapeutiques. Le travail de l’assistant(e) ingénieur sera en grande partie axé sur les aspects biologiques du projet. Les missions clés comprendront la réalisation d’expériences sur cellules cancéreuses, la participation aux manipulations liées à la microfluidique et à la thérapie photothermique, ainsi que l’analyse des données expérimentales.
Activités :
Prise en main de la plate-forme de microfluidique de gouttes pour former des sphéroides ;
Prise en main des protocoles de microfabrication pour former des sphéroides ;
Participation au développement de modèles de tumoroides incluant lignées tumorales, cancer associated fibroblasts, et possiblement patient derived xenografts (PDXs) ;
Tests des chimiothérapies, en particulier séquentielles ou combinées ;
Tests des thérapies à base de laser et de nanoparticules, possiblement combiné aux chimiothérapies ;
Production et caractérisation de vésicules extracellulaires de tumoroides.
Contexte de travail :
Le laboratoire PCC UMR168 à l’Institut Curie offre un environnement de travail fortement interdisciplinaire et international. Il rassemble des physiciens expérimentateurs, des théoriciens, mais aussi des biologistes et des biochimistes, en plein cœur du Quartier Latin à Paris.
Competences :
Bioingénierie
Culture cellulaire
Contraintes et risques :
Pas de contraintes/risques particuliers.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.