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Adhésion à l’ARC: les (mauvais) syndics recommencent à faire blocage ; réagissez...
«Cher Monsieur,
Le Conseil syndical n’ayant aucune personnalité morale, il me semble que la décision unilatérale du conseil syndical d’engager le syndicat des copropriétaires au sein d’une association dépasse le cadre des missions qui lui sont conférées par les textes en vigueur.
En application de l’article 27 du décret du 17 mars 1967, que votre correspondant cite, le Conseil Syndical peut solliciter des avis ou conseils auprès de toute personne de son choix, dès lors que la personne est compétente dans le domaine visé. Un avis technique peut ainsi être sollicité auprès d’un professionnel de la spécialité, mais la consultation est limitée à un problème déterminé. Il ne peut s’agir d’une adhésion à une association.
Il serait bon de rappeler au Conseil syndical que son rôle et ses missions sont strictement encadrés par la loi et qu’il ne peut engager que des dépenses courantes d’administration (poste, déplacement ou avis technique), mais non décider pour le syndicat des copropriétaires d’engagement pour lequel il n’a pas été missionné expressément par une assemblée générale.
Voici une première réponse rapide, d’autant que la jurisprudence tend à limiter le pouvoir des conseils syndicaux uniquement aux pouvoirs d’assistance et de contrôle qui lui sont accordés par les textes.
Notre réponse à l’avocat :
«Maître AF.... B....
Nous faisons suite à votre réponse au syndic E.J.C. concernant la possibilité d’une adhésion d’un conseil syndical à une association de conseils syndicaux.
Enfin, j’ajoute qu’un autre conseil syndical de ce syndic est déjà adhérent à l’ARC via son président, ce que E.J.C. ne saurait ignorer.
Recevez, Maître, l’assurance de nos salutations distinguées.
Président de l’ARC».
Vous vous rendez compte : en arriver à payer un avocat pour maltraiter le droit et empêcher un conseil syndical de se faire aider...