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Une autorité administrative indépendante cherche un stagiaire en bio-informatique pour intégrer des données de scRNA-seq et de transcriptomique spatiale. Le candidat devra posséder un Master 2 ou une formation d'ingénieur, avec des compétences en R et Python, pour mener des analyses sur la réponse vasculaire et inflammatoire. Ce stage offre une expérience enrichissante dans un domaine de recherche innovant.
L'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection est une autorité administrative indépendante créée par la loi du 21 mai 2024 relative à l'organisation de la gouvernance de la sûreté nucléaire et de la radioprotection pour répondre au défi de la relance de la filière nucléaire. Elle assure, au nom de l'État, le contrôle des activités nucléaires civiles en France et remplit des missions d'expertise, de recherche, de formation et d'information des publics. L'ASNR est composée de fonctionnaires, d'agents de droit public et de salariés de droit privé.
L'objectif du stage est d'analyser et d'intégrer des données de ST et de scRNA‑seq afin d'étudier deux phénomènes :
L'approche bio‑informatique reposera sur des méthodes d'intégration multi‑omiques combinant scRNA‑seq et ST, afin de tirer parti de la complémentarité de ces deux technologies. Cette intégration permettra ensuite d'approfondir l'analyse des jeux de données à l'aide d'outils de reconstruction de trajectoires cellulaires et d'inférence d'interactions cellule‑cellule, en intégrant la dimension spatiale.
Le stage s'appuie sur des jeux de données déjà obtenues au laboratoire :
Intégration multi‑omique : associer l'information spatiale obtenue par MERFISH avec les profils d'expression obtenus par scRNA‑seq.
2a. Étude des trajectoires cellulaires : identifier et appliquer les outils méthodologiques les plus adaptés, dans le but de reconstruire les trajectoires de différenciation ou d'activation cellulaire au sein du tissu irradié.
2b. Analyses des interactions cellules‑cellules : évaluer et appliquer les approches bio‑informatiques pertinentes pour l'étude des réseaux de communication intercellulaire en intégrant la dimension spatiale.
Master 2 ou école d'ingénieur, spécialité Bio‑informatique.