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Un centre de recherche scientifique à Marseille recherche un Post Doctorant (H/F) pour étudier les mécanismes de réplication d'un ADN endommagé en utilisant des techniques avancées. Le candidat idéal doit avoir un doctorat en biologie moléculaire et des compétences en réplication de l'ADN. Ce poste offre une rémunération entre 3131 € et 4806 € brut par mois pour une durée de 24 mois avec début prévu le 1 avril 2026.
Portail > Offres > Offre UMR7258-VINPAG-005 - Post Doctorant (H/F) - dommages de l'ADN et microbiologie
Cette offre est disponible dans les langues suivantes : Date Limite Candidature : jeudi 4 décembre 2025 23:59:00 heure de Paris
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Intitulé de l'offre : Post Doctorant (H/F) - dommages de l'ADN et microbiologie
Référence : UMR7258-VINPAG-005
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : MARSEILLE 09
Date de publication : jeudi 13 novembre 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 24 mois
Date d'embauche prévue : 1 avril 2026
Quotité de travail : Complet
Rémunération : Entre 3131 € et 4806 € brut
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : Indifférent
Section(s) CN : 21 - Organisation, expression, évolution des génomes
Poste de chercheur postdoctorant (H/F) pour travailler sur les mécanismes de réplication d'un ADN endommagé, de mutagenèse et de tolérance des lésions dans la bactérie modèle Escherichia coli.
L'équipe "dommages de l'ADN et instabilité du génome" dirigée par le Dr. Vincent Pagès fait partie du département "intégrité du génome" au sein du CRCM. L’équipe a pour but de comprendre les mécanismes de réplication d'un ADN endommagé, ainsi que la génétique des voies de tolérance des lésions de l'ADN.
L’équipe a mis au point une méthode permettant d’introduire une lésion unique dans le génome d’une cellule vivante (bactérie ou levure), ce qui leur permet de suivre le devenir de cette lésion in vivo.
Le projet de recherche postdoctoral proposé vise à explorer les mécanismes génétiques et moléculaires impliqués dans les voies de tolérance aux lésions de l’ADN chez E. coli. Nous identifierons de nouveaux facteurs impliqués dans ces voies en isolant la région endommagée à l’aide d’un système dead‑Cas9. Nous caractériserons ensuite le rôle de ces facteurs et identifierons leurs partenaires en combinant des approches informatiques, de l’imagerie à molécule unique et des techniques moléculaires telles que la microscopie électronique.
Le projet sera mené en collaboration avec des groupes de recherche de la Harvard Medical School (Boston, États-Unis) et de l’Institut Gustave Roussy (Paris, France).
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