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Un institut de recherche scientifique à Paris recherche un(e) Ingénieur(e) de recherche en modélisation des tourbières pour un contrat de 12 mois. Les responsabilités incluent l'incorporation d'un modèle de tourbières dans ORCHIDEE et l'évaluation des équations liées. Un master dans une discipline pertinente et des compétences en Fortran sont requis. Le poste vise à améliorer notre compréhension des échanges de carbone entre la terre et l'atmosphère.
Ingénieur(e) de recherche en modélisation des tourbières (H/F)
Intitulé de l'offre: Ingénieur(e) de recherche en modélisation des tourbières (H/F)
Référence : UAR636-ALERUB-018
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 05
Date de publication : jeudi 2 octobre 2025
Type de contrat : IT en contrat CDD
Durée du contrat : 12 mois
Date d'embauche prévue : 1 novembre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : A partir de 3 237,95 euros
Niveau d'études souhaité : BAC+5
Expérience souhaitée : Indifférent
BAP : A - Sciences du vivant, de la terre et de l'environnement
Emploi type : Ingenieure ou ingenieur biologiste en analyse de donnees
Dans le cadre des projets ALAMOD et PC8-CYCL-ESM financés par les PEPR FairC et TRACCS, respectivement, nous proposons un contrat d’ingénieur de recherche de 12 mois. Les principaux objectifs scientifiques et les tâches connexes du poste seront d'incorporer un modèle récent de tourbières dans la version principale du modèle de surface terrestre ORCHIDEE.
Les activités principales du candidat ou de la candidate seront l’implémentation des équations liées aux tourbières dans la version trunk d’ORCHIDEE, son évaluation ainsi que la mise en place d’un protocole de mise à l’équilibre adapté à cette nouvelle formulation.
Nous sommes à la recherche d’un candidat ou d’une candidate avec un master en sciences du climat, biogéochimie ou sciences du sol avec un fort attrait pour la modélisation. Des compétences en Fortran sont nécessaires.
Le manque de connaissances sur le cycle global du carbone et ses rétroactions avec l'atmosphère limite notre capacité à prévoir le changement climatique. Le rôle des tourbières dans l'échange de carbone entre la terre et l'atmosphère est un aspect clé particulièrement mal connu.