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Une institution de recherche renommée à Paris recherche un(e) chercheur(e) postdoctoral(e) en modélisation des surfaces continentales. Le poste implique des recherches sur les bilans d'eau et d'énergie, utilisant le modèle ORCHIDEE. Le candidat doit avoir un doctorat en sciences environnementales et une expertise significative en modélisation numérique. La mission comporte des collaborations avec d'autres chercheurs et nécessite la publication de résultats dans des revues scientifiques.
Portail > Offres > Offre UAR636-ALERUB-019 - Chercheur postdoctoral en modélisation des surfaces continentales (H/F)
Cette offre est disponible dans les langues suivantes. Date Limite Candidature : mardi 21 octobre 2025 23:59:00 heure de Paris
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Intitulé de l'offre : Chercheur postdoctoral en modélisation des surfaces continentales (H/F)
Référence : UAR636-ALERUB-019
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 05
Date de publication : mardi 30 septembre 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 12 mois
Date d'embauche prévue : 1 décembre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : A partir de 3081,33€
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : Indifférent
Section(s) CN : 01 - Interactions, particules, noyaux du laboratoire au cosmos
Le ou la chercheur(se) postdoctoral(e) mènera des recherches sur la modélisation des surfaces continentales, afin d'améliorer les simulations des bilans d'eau, d'énergie et de carbone échangés avec l'atmosphère, en utilisant le modèle ORCHIDEE (développé à l'Institut Pierre Simon Laplace, IPSL). Il ou elle cherchera à améliorer la représentation de processus sous mailles en se focalisant principalement sur l'hydrologie. La mission implique principalement trois axes. Le premier concerne l'amélioration de la stabilité du schéma numérique traitant des mouvements verticaux d’eau dans le sol (advection – diffusion) dans des cas spécifiques de forts gradients. Le second concerne la prise en compte de l'effet du carbone organique du sol sur les propriétés hydrauliques des sols (principalement la porosité), en accordant une attention particulière aux hautes latitudes, afin de développer une représentation adéquate de cet effet dans un modèle de surface continentale. Enfin le dernier axe, prépondérant, concerne l'implémentation d'un bilan d'énergie et d'eau multiple dans ORCHIDEE afin de pouvoir représenter l'hétérogénéité sous-maille de ces bilans (le modèle actuel ayant seulement 1 bilan d'énergie et 3 bilans d'eau). L'objectif, en partenariat avec d'autres développeurs du modèle ORCHIDEE, est d’implémenter un schéma flexible pour avoir des bilans d'eau/énergie indépendants pour chaque type fonctionnel de plante représenté dans le modèle. De manière générale, il ou elle collaborera avec divers chercheurs de l’IPSL pour intégrer les développements réalisés au reste du modèle et les paramétrer. Il ou elle contribuera à la publication de résultats de recherches dans des revues scientifiques et participera à des conférences internationales afin de présenter ses travaux et d'échanger avec la communauté scientifique sur les avancées réalisées.
Les activités principales du ou de la chercheur(se) postdoctoral(e) pour ce poste incluront les tâches suivantes :
Poste situé à Paris