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Un établissement de recherche scientifique recherche un Doctorant en épigénétique et reproduction pour étudier l'impact des dérèglements métaboliques sur la fertilité. Le projet se concentre sur l'interaction entre les dysfonctionnements épigénétiques et leur effet sur la fécondation et le développement embryonnaire. La rémunération est de 2300,00 € bruts par mois. Début de la thèse prévu le 1er mars 2026, pour une durée de 36 mois, dans un environnement de recherche de pointe à Paris.
Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
Date Limite Candidature : mercredi 7 janvier 2026 23:59:00 heure de Paris
Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler
Intitulé de l'offre : Doctorant / Doctorante (H/F) en epigénétique et reproduction
Référence : UMR8104-JULCOC-001
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 14
Date de publication : mercredi 17 décembre 2025
Type de contrat : CDD Doctorant
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 mars 2026
Quotité de travail : Complet
Rémunération : La rémunération brute mensuelle est de 2300,00 € selon le barème de rémunération applicable au CNRS, Fonction Publique d'État
Section(s) CN : 22 - Biologie cellulaire, développement, évolution-développement, reproduction
L'obésité masculine et les troubles métaboliques associés peuvent nuire à la fertilité et augmenter le risque de complications maternelles et néonatales, mais les mécanismes moléculaires ne sont pas bien compris. Le projet a pour objectifs i) de caractériser l'interaction entre les dérèglements métaboliques et épigénétiques dans les spermatozoïdes, ii) d’étudier l'impact de ces dérèglements sur la fécondation, le développement embryonnaire et le déroulement de la grossesse, à l'aide de modèles murins.
Notre équipe intitulée « Des gamètes à la naissance » étudie les bases moléculaires des troubles de la reproduction à travers une approche intégrée à l’interface entre recherche fondamentale et clinique.
Parmi les maladies clefs qui sous-tendent nos questions se trouvent les défauts de différenciation des gamètes mâles, les défauts d’interaction spermatozoïde-ovocyte, les défauts d’implantation ou de fonctionnement utérin (en particulier lors de l’endométriose), les maladies hypertensives de la grossesse (prééclampsie) et les anomalies de la durée de la grossesse, comme l‘accouchement prématuré.
Nos approches méthodologiques font appel à la biologie cellulaire et moléculaire, la microscopie optique et électronique, la génétique (contextes familiaux ou populationnels), les techniques de biologie de la reproduction, ainsi que les approches à haut-débit «omics» telles que la génomique, la transcriptomique, la protéomique et les analyses bioinformatiques de ces données.
Notre équipe fait partie de l’Institut Cochin, l'un des plus grands centres de recherche biomédicale français. Il est situé au centre de Paris (22 rue Méchain, 75014 Paris) et comprend 38 équipes de recherche et 12 plateformes technologiques de pointe.
RAS